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IL GOVERNO FRANCESE CONDANNATO PER LA LIMITAZIONE DELLA LIBERTÀ RELIGIOSA COL PRETESTO DEL CORONAVIRUS. E L'ITALIA?

Il Consiglio di Stato francese, su iniziativa della Rete Civitas, che raccoglie diverse Associazioni cattoliche transalpine, ha condannato il Governo francese per le indebite limitazioni al culto pubblico cattolico col pretesto della prevenzione del contagio da coronavirus, dando 8 giorni al governo per modficare i propri decreti e restaurare la piena libertà di culto pubblico cattolica, che nella laicissima Francia rimane costituzionalmente garantita.

Viene sommessamente da chiedersi perché in Italia tutto abbia viceversa taciuto.

Ecco in originale il Comunicato finale emesso dal Consiglio di Stato francese (in grassetto il passaggio fondamentale):

Communiqué du Conseil d’Etat

Le juge des référés du Conseil d’État ordonne au Gouvernement de lever l’interdiction générale et absolue de réunion dans les lieux de culte et d’édicter à sa place des mesures strictement proportionnées aux risques sanitaires et appropriées en ce début de « déconfinement ».

Saisi par plusieurs associations et requérants individuels, le juge des référés du Conseil d’État rappelle que la liberté de culte, qui est une liberté fondamentale, comporte également parmi ses composantes essentielles le droit de participer collectivement à des cérémonies, en particulier dans les lieux de culte. Elle doit, cependant, être conciliée avec l’objectif de valeur constitutionnelle de protection de la santé.

Dans l’ordonnance rendue ce jour, le juge des référés relève que des mesures d’encadrement moins strictes que l’interdiction de tout rassemblement dans les lieux de culte prévue par le décret du 11 mai 2020 sont possibles, notamment compte tenu de la tolérance des rassemblements de moins de 10 personnes dans d’autres lieux ouverts au public dans le même décret.

Il juge donc que l’interdiction générale et absolue présente un caractère disproportionné au regard de l’objectif de préservation de la santé publique et constitue ainsi, eu égard au caractère essentiel de cette composante de la liberté de culte, une atteinte grave et manifestement illégale à cette dernière.

En conséquence, il enjoint au Premier ministre de modifier, dans un délai de huit jours, le décret du 11 mai 2020 en prenant les mesures strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu applicables en ce début de « déconfinement », pour encadrer les rassemblements et réunions dans les établissements de culte.



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